Dans un bar, un soir de réveillon, des femmes des hommes, plusieurs fractures d’une société en crise qui nous donnent à entendre le bruit du monde. Plusieurs solitudes faites d’alcool et de désillusions se retrouvent se confrontent s’affrontent se séduisent, se consolent.
D’après la pièce de Mamadou Mahmoud N’Dongo :
« Il y a ceux qui veulent mourir un jour de pluie »
Alors j’ai préféré la nuit
Distribution par ordre d’apparition
Julie Crégut
Julie Crégut est Solveig
Maxence Bod est Joachim
Éva Paula est Eva
Faraban Koulibaly est Bakary
Arnaud Mattlinger est Bruno
Norbert Haberlick est Ishmael
Gaia Said est Fanny
Olwen Marquette est Annabelle
Maxime Gleizes est Udo
Julien Breda est Dimitri
Anne-Sophie Sterck est Amel
Estelle Desydol est Nathalie
Brahim Maza est Dan
Glenn Marausse est Adrien
Elève au Conservatoire de Montpellier et au CMA5 à Paris, entre 2011 et 2014 elle se forme auprès de Frédéric Borie, Hélène de Bissy, Luca Franceschi, Élisabeth Cecchi , Stéphanie Farison et Christophe Giordano. À sa sortie, elle joue surtout dans des mises en scène de textes d’auteurs contemporains notamment Daniel Danis, Josep Peyrò ou encore Jon Fosse. Elle rejoint en tant qu’actrice l’équipe de Recorderz Prod, fondée par Pascal Michel et Anthony Marzin, tous deux réalisateurs. Leur film « Un peu d’air » sera sélectionné dans plusieurs festivals, puis elle tourne sous la direction de Quentin Renault dans ses films « Les joues roses » et « Je suis coupable ». En 2016, elle réalise son premier court-métrage « Froissement(s) ». En 2018, le second, « Béguin ». En parallèle, elle gère le collectif Le Collective et joue dans la création « Du cri des mouettes », qu’elle co-écrit et met en scène avec Mathilde Jaillette pour le festival d’Avignon 2018. Elle travaille également avec la compagnie du Coup Monté, et signe ainsi la mise en scène avec Benjamin Dussud de leur premier spectacle « Madame Shakespeare », une romance épistolaire de l’auteur Anca Visdei.
Maxence Bod
Après avoir vu la saga Harry Potter, Maxence BOD se décide à devenir acteur et commence le théâtre dans une colonie de vacances. Sous le charme, il intègre ensuite des cours sous la direction de Bruno Bonjean tout en suivant parallèlement un Bac L option Théâtre. Son diplôme en poche, il intègre une prépa littéraire qui lui donnera le goût du texte, avant de monter à Lyon pour rejoindre le Conservatoire.
Durant ces trois années, il fait la rencontre d’artiste avec lesquels il travaille encore aujourd’hui tel que Laurent Brethome ou Antoine Joly. Ayant stoppé ses études à la faculté, il se consacre entièrement à son art et poursuit sa formation dans le sud-est en intégrant la promo 23 de l’École Régionale d’Acteurs de Cannes et Marseille.
Il étend ses expériences et ses rencontres en participant à des ateliers diverses sous le regard de Stéphane Braunschweig, Didier Galas et Laurent Poitrenaux notamment.
Ayant fini son cursus, il a la chance de rejoindre trois équipes : l’équipe de «France 98″ mis en scène par Natacha Steck en mai 2019,» «Convulsions» mis en scène par Frédéric Fisbach et le Laboratoire Urbain d’Intervention Temporaire avec deux créations en théâtre de rue.
Peu présent devant la caméra, il y reprend goût grâce à la vidéaste Mathilde Supe et plus récemment avec le réalisateur et auteur Mamadou Mahmoud N’Dongo dans son dernier court-métrage.
Eva Paula
Après des études en L.E.A (Langues étrangères appliquées) à l’U.P.E.M (Université Paris-Est Marne-la-Vallée) et à la R.U.B (Ruhr-Universität Bochum, Allemagne), Eva Paula cumule différentes expériences dans le secteur tertiaire mais aspire à se consacrer au chant, qu’elle pratique timidement dans sa salle de bain depuis le plus jeune âge.
C’est en 2015 qu’Eva Paula prend ses premiers cours de chant et fait sa première scène en participant avec SisDee au «Go for it spring 2015», un programme de coaching de chant sur trois mois. Le programme se conclut par l’enregistrement d’un morceau et un concert.
Dans la foulée, elle intègre la chorale maloya de Jean-Didier Hoareau, chanteur lead du groupe maloya rock Trans Kabar et neveu du grand chanteur, poète et compositeur réunionnais Danyel Waro qu’il accompagne régulièrement sur scène (chœurs et kayamb). Au sein de cette chorale, elle renoue avec ses racines réunionnaises. Avec la chorale maloya, Eva Paula participe à une résidence au SAX à Achères dans le cadre du Festival Africolor en 2016. Elle chante pour l’ouverture du Bal de l’Afrique Enchantée en co-plateaux avec différents artistes de l’Océan Indien et des Antilles dont Danyel Waro, René Lacaille, Frédéric Joron, Rajery et Dédé Saint-Prix. La même année, elle rencontre Violette Le Quéré-Cady qui l’initie au chant jazz et la prépare à l’audition pour entrer à l’école Atla.
De 2016 à 2018, elle suit un cursus professionnel en chant jazz à l’école Atla auprès d’Isabelle Carpentier et de Cecil.L Recchia.
En Octobre 2018, elle intègre le Conservatoire à rayonnement départemental de Bobigny en dernière année de deuxième cycle chant jazz avec Déborah Tanguy.
En parallèle, elle travaille activement à divers projets musicaux.
Faraban Koulibaly
Faraban Koulibaly est un auteur et metteur en scène francais. Né a Sarcelles d’une mère malienne et d’un père guinéen, il s’intéresse très tôt aux livres.
C’est aux contacts d’Elisabeta Barruco, Claudie De Cultis et son professeur Claude Shaer qu’il fera ses premières scènes (Azzazelo dans «Le maître et Marguerite» de Boulgiakov puis Monsieur Alain dans «Iphigenie Hôtel»)
En 2009, il se décide se lancer dans la création d’une compagnie de théâtre avec des amis. Après deux ans de voyages mais aussi de recherches et de réflexions autour d’Arthaud mais aussi Grotowski, Faraban intègre le conservatoire du 13ème arrondissement où le soutient de Francois Clavier . C’est là qu’il fait la rencontre de Maxime Gleizes et Julien Breda, puis plus tard d’Ange Didisse et Guillaume Benoît.
Ange, Guillaume et Faraban se lancent dans la création d’un collectif artistique. Celui-ci se nourrit des qualités et des passions de chacun des membres du collectif tout en collaborant avec d’autres artistes ponctuellement.
C’est à l’issue d’un festival où Faraban interprète Mercutio dans sa mise en scène du texte de Shakespeare que l’idée d’une collaboration entre «The Bred in the bone company» (Brighton, UK) et le Collectif «À vous de voir» germe et qu’ils se décident à travailler ensemble.
Faraban est l’auteur de «Sur la mer vermeille, des voiles gonflées» poème dramatique (2015); «Brûlures et Caresses», recueil (2018); «Hère-Os» Pièce de théâtre (2018, en cours de création).
Arnaud Mattlinger
Arnaud Mattlinger monte pour la première fois sur scène en 2014 à l’Odéon théâtre l’Europe. Il joue le prof de Taï Chi Chuan (qu’il enseigne aussi à la ville) d’Araminte dans « Les Fausses Confidences » de Marivaux, mise en scène de Luc Bondy. Pour aller plus loin, il se forme auprès d’Eva Saint-Paul et joue dans plusieurs pièces dont « George Dandin » (Molière – George Dandin), « Victor ou les enfants au pouvoir » (Roger Vitrac – Antoine Magneau), « Une envie de tuer sur le bout de la langue » (Xavier Durringer – Vic), « Parole et Guérison » (Christopher Hampton – Freud). En 2017, il met en scène « Le Pain Dur » de Paul Claudel (Turelure de Coûfontaine). En 2018, il joue Peter dans l’adaptation française de » Zoo Story » (Edward Albee – Jean-Marie Besset – Peter) et Bruno dans « Alors j’ai préféré la nuit », court métrage de Mamadou Mahmoud N’Dongo.
Norbert Haberlick
Né en Picardie dans une famille originaire de l’Europe de l’Est entre une mère alsacienne et un père tchécoslovaque. Il y passe une partie de sa petite enfance. Puis part à l’âge de 13 ans en Bourgogne vivre son adolescence au cœur de la Puisaye… Indépendant, solitaire et rêveur, il découvre le cinéma, les polars et les acteurs à travers les dialogues d’Audiard et les films de Jean Gabin, Alain Delon, Jean Paul Belmondo, Lino Ventura, entre autres. Les études ne le passionnent pas, il se réfugie dans l’imaginaire et commence à vivre sa vie en multipliant les petits boulots.
Il entre au Cours René Simon en 1984 avec l’envie et la passion des planches chevillées au corps et obtient en 1986 le Prix Laurence Constant (prix de comédie) et en 1987 le Prix René Simon (prix dramatique).
C’est sous la direction de José Giovanni qu’il débute au cinéma en 1988 dans «Mon ami le traître». Il croisera également par la suite la route de Régis Wargnier, Étienne Chatiliez, Francis Veber… Mais c’est à la télévision que Norbert Haberlick va faire son chemin. Il enchaîne les rôles dans de nombreux téléfilms et séries comme «Boulevard du Palais», «Vaugand», «Commissaire Moulin», «R.I.S Police scientifique», «Central Nuit» ou encore «Diane femme flic» en travaillant notamment avec Manuel Boursinhac, José Pinheiro, Gérard Vergez, Bruno Garcia (réalisateur), Christian Bonnet…
En 2007, il rencontre Dominique Ladoge qui le dirige dans la série «Le Silence de l’épervier» (8×52’) dans laquelle, il incarne le commandant Abel Sandoval. Au cinéma on le retrouve en 2016 dans «La Vache» de Mohamed Hamidi. Il a récemment joué dans «Different Maps», court métrage de Mamadou Mahmoud N’Dongo
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Il prête également sa voix pour différents doublages.
Gaia Saïd
Originaire de la région Lyonnaise, Gaia Saïd est passionnée de création. Elle étudie l’Art aux cours du soir des Beaux Art de Lyon et au sein de l’école de design Esmod. Elle décide de s’installer sur Paris en 2002 et intègre le Sudden Théâtre auprès de Raymond Acquaviva, elle en sort en 2005 et perfectionne son Art de comédienne avec des workshops de l’Acteur Studio avec Jack Waltzer et Philippe Ducou avec les Ateliers « Le Corps en Scène » à la Cartoucherie. Elle interprétè à ces début des rôles au théâtre ainsi qu’au cinéma et à la télévision. Sur le court métrage réalisé et écrit par Mamadou Mahmoud N’Dongo « Alors j’ai préféré la Nuit » pour le rôle de Fanny, Gaia porte une robe créée par François Michel Pivert.
Olwenn Marquette
Olwen Marquette se forme tout d’abord en danse (avec pratique des danses classique, contemporaine et modern’jazz) et obtient un diplôme d’État de professeur de danse classique. Après plusieurs expériences professionnelles dans le domaine de la danse (notamment compagnie Biz’Art Gamet, production Partizan, La Médiaphorie, 5 année d’enseignement de la danse en Île-de-France) elle se tourne vers le théâtre. Fin 2017, elle rejoint la Société pour la Distribution du Sensible pour les projets «Scénozica» (comédienne et danseuse) puis «Rue Ordener, Rue Labat» (comédienne).
Au niveau audiovisuel, elle a participé à plusieurs court-métrages et est membre du collectif Bastion qui organise notamment des ateliers mensuels de jeu style cinéma.
Maxime Gleizes
Maxime grandit au Zimbabwe et se passionne de voyages dès sa plus tendre enfance. Il parcourt le monde depuis la plus grande cascade du monde Salto Angel au Vénézuela vers les rizières de Banaue aux Philippines en passant par les steppes Mongoles.
Il se dirige naturellement vers un Master de Management du Tourisme à Paris Est-Marne-la-Vallée et commence en parallèle sa formation théâtrale au sein du Conservatoire d’art dramatique du 13ème arrondissement de Paris, formation qu’il poursuit ensuite en Biélorussie, au sein de l’Académie des Arts de Minsk. Il intègre en 2016 la Promotion 37 de la Classe Libre du Cours Florent, où il reçoit les enseignements de Jean-Pierre Garnier et de Félicien Juttner.
Au Théâtre, Maxime travaille dans des Théâtres de renom (Théâtre du Rond-Point, Théâtre Montmartre-Galabru, Théâtre XIII, Théâtre RTBD de Minsk, Ciné XIII et Théâtre des Bouffes du Nord) et sous la direction Jean-Pierre Garnier, Sébastien Pouderoux, André Oumanski, Philippe Calvario, Serguei Tarasuk et Julie Brochen entre autres…
Côté hobbies, Maxime est passionné d’échecs et de boxe anglaise.
Julien Breda
Après avoir effectué ses études à Paris III Sorbonne-Nouvelle et au conservatoire du 13e arrondissement en art dramatique, Julien Breda entre l’ERACM en en sort diplômé en 2016.
Il a travaillé sous la direction de Nadia Vonderheyden, Laurent Poitrenaux, Claude Duparfait, Didier Galas, Stéphane Braunschweig, Dorian Rossel, Alexandra Tobelaim, François Cervantès et Jean-Pierre Baro.
Depuis sa sortie, Julien lit et joue régulièrement des textes d’auteurs contemporains tels que Pauline Peyrade, Falk Richter, Marius Von Mayenburg, il joue dans «Martyr» du même auteur avec l’Ensemble 23 (collectif issu de l’ERACM) au Festival Nanterre sur Scène.
Ils remportent le prix du public et le prix du jury.
En 2018, il joue dans «B. TRAVEN», la dernière création de l’auteur-metteur en scène Frédéric Sonntag au Nouveau Théâtre de Montreuil et en 2019, ainsi que dans «Mephisto Rhapsody,» un texte de Samuel Gallet mis en scène par Jean-Pierre Baro au Théâtre National de Bretagne.
Il apparaît de temps en temps à la télévision, où il a pu travailler avec les réalisatrices Mona Achache et Isabelle Czajka.
En parallèle de son travail de comédien, Julien est diplômé d’état de professeur de théâtre et initie depuis quelques temps une démarche de transmission auprès d’établissements scolaires et d’ateliers divers.
Anne-Sophie Sterck
Anne-Sophie Sterck est comédienne. En France, elle a joué entre autres dans des pièces de Stanislas Nordey, Bruno Meyssat, Jonathan Châtel, Judith Depaule, Baptiste Amann.
Elle a aussi travaillé en Suisse avec Marielle Pinsard et en Belgique avec La Clinic Orgasm Society ainsi qu’avec Eléna Doratiotto et Benoît Piret.
Elle est membre du NIMIS Groupe, collectif d’acteurs franco-belge réuni autour de la question des politiques migratoires européennes qui a créé le spectacle «Ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu», nominé Meilleur spectacle au Prix de la Critique 2016.
Elle est également membre du collectif belge La Brute qui a mis en scène
«Blackbird» de David Harrower et qui prépare actuellement un spectacle sur la prostitution.
Estelle Desydol
Estelle Desydol est une comédienne qui a débuté dans le milieu artistique à travers la danse Hip-hop et plus précisément le popping.
Forte de ses expériences en tant que danseuse, Estelle choisit de se tourner et de se spécialiser vers le métier de comédienne en suivant des stages dont celui de Damien Acoca.
Elle fait des apparitions dans des séries TV – comme « Clem » ou « Platanes » – ainsi qu’au théâtre en 2012 et au cinéma
Brahim Maza
Je suis un enfant du vélo sans frein, de la balle de foot, des parfums d’épices indiens, des appels des parents par la fenêtre, des cris d’enfants, des escalades dans les arbres, de la musique forte de mes voisins… une vie riche d’émotions. L’activité artistique ne faisait pas partie de notre vocabulaire, mais rangée au fond d’un tiroir de mon esprit. Jusqu’au jour où ma petite sœur avec quelques copines, réussissent à monter l’atelier théâtre du service municipal jeunesse de ma ville !!!
En 1991, j’ouvre mon tiroir, sort, dépoussière et inscrit mon désir sur la liste des apprentis comédiens de Bobigny.
Un terrain de jeux que je découvre, autre que celui des rues de mon quartier, un espace restreint et à la fois infini dans lequel je peux me lâcher sans jugement.
J’ai trouvé un des plus beaux métiers dans lequel je veux m’épanouir !!! Mais la réalité me rattrape, je ne suis pas seul, nous sommes 5 et sans ressources.
J’ai commencé par des tas de petits boulots (restauration rapide, livreur, vacations diverses, animateur…) en parallèle de mes études professionnelles de commercial et de mon assiduité hebdomadaire à l’atelier théâtre.
Non, je ne l’ai jamais arrêté et même mieux, nous avons monté deux compagnies avec lesquelles nous avons monté plusieurs pièces aussi différentes les unes que les autres.
Aujourd’hui, je ne suis pas intermittent mais comédien, comme quoi tout est possible !!!
Glenn Marausse
C’est au lycée que Glenn découvre le théâtre et le jeu d’acteur.
Son Bac L option théâtre en poche, il intègre en 2009 le Conservatoire Régional de Théâtre de Nantes. Il va y rencontrer Monique Hervouët qui va lui proposer, à sa sortie du conservatoire, le rôle de Damis dans «Le Tartuffe» qu’elle monte en 2011.
Soixante représentations plus tard, Glenn est reçu à l’Eracm en 2013 pour trois ans de formation au sein de l’Ensemble 23. Il y découvre la notion de collectif et travaille entre autres sous la direction de Laurent Poitrenaux, Nadia Vonderheyden, Michel Corvin, Jean-Pierre Baro, Emma Dante, Didier Galas et Claude Duparfait.
Il y rencontre également Stéphane Braunschweig qui l’embauche à sa sortie de l’école sur sa première création en tant que directeur du Théâtre de l’Odéon dans «Soudain l’été Dernier» de Tennessee Williams en 2017.
Trois autres créations suivront à l’Odéon jusqu’en 2019, «Macbeth» de Shakespeare en 2017, «L’école des Femmes» de Molière en 2018 et «Nous pour un moment» d’Arne Lygre en 2019.
Depuis sa sortie de l’Eracm, Glenn fait de nombreuses rencontres comme avec Guillaume Doucet avec qui il participe à la création de «Pronom» de Evan Placey ou bien encore avec Jeanne Lazar avec qui il monte «Guillaume, Jean-Luc, Laurent et la journaliste», une adaptation d’un roman de Guillaume Dustan par la metteure en scène.
Il participe aussi à des lectures radiophoniques.
Yvan Ackermann
Yvan a commencé la musique en prenant des cours de piano et de percussions au CNR de Dijon des l’age de 10 ans, et obtient quelques années plus tard le 1er Prix de percussions ainsi que le bac F11 (musique).
Il entre ensuite au CNR d’Asnieres en classe de perfectionnement, et obtient le 1er Prix d’excellence en percussions dans la classe de Francis Brana (Orchestre de Paris). Il présente le concours d’entree au CNSM de Lyon en percussions et restera 2 ans dans la classe de Francois Dupin, qu’il quittera pour devenir accompagnateur de Rita Lussi, (ex danseuse de Maurice Bejart & Martha Graham) professeur de danse contemporaine au CNSM de Lyon.
Décidant d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte, il part à Los Angeles et croise le «Percussion Institute of Technology», rencontre plusieurs batteurs et musiciens dans divers clubs de L.A., prend des cours de batterie et revient en France pour travailler en tant que batteur avec L’Affaire Louis Trio pendant 9 ans (5 albums dont 2 disques d’Or, des tournées en France, Belgique, Suisse, Canada, Tunisie et Japon), et développe une activité de musicien de studio pour des artistes tels que Jean Gamet, Nilda Fernandez, Maurice Reverdy, Kent, Zabou Breitman, Lapassenkoff etc.
Parallèlement à cette activité dans la «musique amplifiee», il continue de travailler dans le milieu classique et contemporain ainsi que pour le théâtre et la TV. De nombreuses collaborations suivront avec L’Orchestre National de Lyon, L’Opéra de Lyon, Keith Jarrett, Maguy Marin, Barbara Hendricks, L’ensemble Forum, Ken Russell, Georges Lavaudan, Jean Claude Pascal, Gerard Maimone et Olivier Angele notamment.
À la fin des années 90 il s’installe à Paris et poursuit une activité en studio ou sur scène en travaillant pour différents artistes comme Zazie, Dominique Dalcan, Yves Duteil, Thomas Fersen et Burgess. Puis il collabore pendant un an à la comedie musicale «La fièvre des années 80» de Roger Louret aux Folies Bergere.
S’installant finalement dans les Yvelines, il rencontre les Blérots de Ravel et devient leur batteur pendant 10 ans. S’ensuit une période intense d’enregistrements d’albums et de concerts (4 albums et des tournées en Europe, Indonésie, Thaïlande, Montenegro, Liban..). Il poursuit une activité de musicien de studio et collabore à de nombreux albums en dehors du groupe avec, entre autres, Alabama 65, SwanSong, Les Enfantastiques, Barjavel, Los Mezcaleros, Grand Rouquin Blanc, The Invaders.
Il travaille aussi sur la B.O. de «Paris» de Cedric Klapisch, composée par Loik Dury. Puis de 2013 à nos jours, il tourne avec la compagnie de danse Vilcanota sur un spectacle intitulé «L’homme d’habitude», chorégraphie et mis en scène par Bruno Pradet, dont la musique est composée et jouée en live par Les Blérots de Ravel.
Le groupe n’ayant plus d’existence propre en dehors de ce spectacle, Yvan se lance alors dans un vieux rêve jusqu’alors resté en retrait par manque de temps : composer de la musique à destination de l’image.
C’est ainsi qu’il fonde DOK Production, structure essentiellement vouée à ce but.
Il travaille régulièrement avec deux éditeurs, l’un à Paris et l’autre a Los Angeles.
Aujourd’hui il collabore avec Jean-Michel Fages, scénariste-réalisateur à la musique d’une future série TV, ainsi qu’avec l’écrivain Mamadou Mahmoud N’Dongo sur son prochain film intitulé «Alors j’ai préféré la nuit» pour lequel il vient de signer la musique originale.
Équipe technique
Productrice Déléguée Djenaba Soumaré de Saint-Louis
Productrice exécutive Véronique Mailliet
Réalisateur et auteur Mamadou Mahmoud N’Dongo
Chef opérateur Olivier Denis
Cadreur Steadicam Fabrice Iaconelli
Cadreur Kevin Escobar
Électro Xavier Delrieu
Musique originale Yvan Ackermann
Ingénieur du son Alphonse Armant
Perchman Romain Gonzales
Stagiaire son Thomas Laliberté
Design sonore Solveig Ananissoh
Montage Amoreena Manheim
Photographe de plateau Sylvie Biscioni
Scripte Minh Tran Huy
Décor Harold Haddad
Maquillage Marietou Adjiratou Bâ
Costume Lou Garion
Création robe de Fanny François Michel Piver
Assistant réalisateur Frédéric Carello
Casting Gabriel Saint-Martin
Régie Claire Vannier
Relations presse Nathalie Philippe
Remerciements Ville de Bobigny et Canal 93 Rachid Ziani et Mohammed